«Place aux artistes» à Huy, clôture en beauté.
Place aux artistes (2), Liège, durant tout l’été
Publié par Robert Hansenne
Enfin un espace d’expression pour les artistes.
Brosella XXS, Théâtre des Verdures, Bruxelles (6 au 9/8)
Publié par Didier Wagner
Brosella XXS… mais une organisation XXL !
Y a du Gaume Jazz dans l’air (7 au 9/08)
Publié par Jean-Pierre Goffin
En dépit des vagues, les reporters de JazzMania ont assisté aux trop rares concerts et festivals qui ont pu se tenir cet été.
11e rallye Jazz04 au fil de l’eau – le 30/08
Publié par Yves «JB» Tassin
11ème édition d’un rallye qui a bien failli ne pas avoir lieu...
Y a du Gaume Jazz dans l’air (7, 8 et 9 août)
Publié par Jean-Pierre Goffin
Une édition 2020 adaptée… mais très tentante !
Philip Catherine Quartet
Publié par Didier Wagner
Philip Catherine Quartet à Flagey, 26 juillet 2020 : le portfolio
Ça jazz à Huy, édition 2020
Publié par Claudy Jalet
La ville de Huy n’a pas souhaité interrompre son festival annuel.
Concerts d’été des Grignoux
Publié par Claude Loxhay
Les concerts d’été ont bien démarré avec Houben & Son en ouverture
David Linx ft. Lady Sings The Blues
Publié par Philippe Schoonbrood
David Linx ft. Lady Sings The Blues – Sidney J. Furie (1972) « Il y a un premier et un deuxième dans Play Misty For Me. Mon premier est chanteur, compositeur et parolier. Connu et reconnu, né dans un pays confetti, qui est aussi le mien, mon premier est nommé David Linx. Et c’est une chance que d’entendre David Linx, parler en témoin privilégié, nourri de passions mûries. David Linx nous livre, avec l’accent du nord, une analyse jouissive, d’une voix singulière et crédible, de mon deuxième. Mon deuxième est un film de 1972. Qui surnage. Lady sings the blues embauche Diana...
Ibrahim Maalouf, lumière de Kalthoum
Publié par Philippe Schoonbrood
Ibrahim Maalouf et la lumière de “Kalthoum” Exilé en France avec sa famille lors de la période troublée vécue par le Liban, Ibrahim Maalouf est issu d’une famille d’artistes : un grand-père poète, un oncle (Amin Maalouf) écrivain de renom, un père musicien qui crée pour lui une trompette inédite : « C’est une trompette inventée au début des années 60 par mon père et qui permet de jouer de la musique arabe, grâce à un quatrième piston, ça ne s’était jamais fait avant, et pour la musique arabe, c’était une vraie révolution.» Tout menait donc Ibrahim vers une carrière artistique et une liberté...